L'invocation de Jeanne!

Invité

Qui n'avait jamais rêver de dormire jusqu'au lent demain sens être reveillé par les réyons du soleil ou bien le réveille, peut être pas vous mais moi si ! de s'entire cette douce chaleurs me caresser le visage s'étais désagréable... enfin ! Ont aurait pu dire "Ces agréable" et bien moi je dissait le contraire ! j'amais vraiment restez dans mon lit, j'amais dormire, Une flemarde ? au que non ! j'étais une grande travailleurse ! que ce sois à l'école que autre par. Aprés tout les flemard ne prendrais pas la peine de faire du sport ou encore dessiner des chose, et bien voila ! Vous m'avez touse compris, Je suis quelqu'un de bissard ! Ouvrans les yeux je pouvait découvrire un plafond, un plafons blanc. Un plafond blanc ? pourquoi pas un plafond rouge ! Ok non je vais me calmez ! au réveille je resemble à une folle. Me redressant j'ai possé un pied au sol avant de posé l'autres à son tours. Me redressant ensuite sur les deux pillier qui me servais de jambe, j'ai regarder devant moi, il n'y avais personne. En même temp qui pourait être la ? Prénant des habit propre dans mon armoire, je pris des vétement noirs et je partie en direction de la salle de bain.

Quelque minutes plus tard j'étais enfin arriver au douches, hôtent mes vêtement je me mis nue devant un mirroire et je commançie a faire tomber l'eau du robinet, regardant tout cela je pris un peu d'eau dans les pomess de mes main pour m'éclabousser le visage, s'étais télement agreable... plus agréable que le soleil a mon avis ! Enfin, voila quoi ! Une fois que j'étais totalement propre j'enfilla mes vêtement et me fit une queue de cheval. Une fois prête je me suis regarder une derniére fois dans le mirroire qui m'avais rapeller des souvenire trés lointain, Sortant ensuite de cette piéce qui avais êtes modit de ma présance je me suis diriger vers la cuissine ou je me suis préparé un petit déjeuner. Me votrans dans le canapé je pris un croissant et un verre de jus de fruit. Tout en dejeunant j'avais remarqué que le livre que j'avais trouvé dans les affaire de mon pére étais sur la table, possant ma nourriture je les pris dans mes main et j'ai commencer à le feuilletter, j'hésitais encore un peu, m'ait a la simple idée de pouvoirs tuer mes énemie me rendais heureuse. Prenant un couteau dans la poche de mon jeant je me suis ouvert la paume, aprés cela j'ai commencer a tracé un pentagramme d'invocation sur le sol de mon salon à un endroit bien dégage des meubles. Aprés avoirs finit de tracé le pentagrame je me suis mise au centre pour résiter une incantation.

"Entend moi, ton enveloppe m'appartiendra mon destin sera confier à ta lame si tu te soumais à l'appelle du St-Graal si tu acceptes de te soumettre à ma volonté alors répond, j'en fais le serment éternellement j'incarnerais le bien et éternellement je soumettrais le mal oh toi une des sept divinités qui porte les trois mots magiques émerge du cercle qui t'emprisonne protecteur de la balance plie toi à ma volonté et je confirais mon destin à ta lame."

Aprés avoirs dit cela j'ai comme êtes pousser par une grande puissance magique, ouvrans les yeux je vis le pentagramme brillé de mille feu au sol. Me redressant j'ai regarder de plus prés se qu'il se passait, il y avais une silhouette qui êtait présente, la silouette d'une femme... Qui êtais ce ? Me raprochant encore plus, la silhouette étais devenue une magnifique femme blonde au yeux vert, qui pouvait bien être mon servant ? La regardant de plus prés je me suis mise à la regarder de bas en haut.

Invité

Errer dans un monde inconnu, l'univers de tous les héros de jadis. J'étais seule dans ce lieu ce qui représente pour moi l'au delà. Mon unique voeu doit être accompli en obtenant le Saint-Graal. Cette coupe sacrée, si attirante permettrait à n'importe qui de réaliser un de ses souhaits le plus cher de son être. Par ma détermination, je gagnerais cette guerre en éliminant mes adversaires quoi qu'il arrive. Une voix féminine m'appelle par l'intermédiaire du cercle d'invocation et sans aucune hésitation je réponds à son appel.

Le pentragramme se mit à briller d'une lumière aveuglante puis j'apparus devant celle qui était mon master dans ce combat. Les rayons du soleil filtraient à travers une fenêtre pour une meilleure vue de ma silouhette me donnant un air angélique. Je détaille la jeune femme qui me faisait face. Une longue chevelure rouge assortis à de beaux yeux marrons ténébreux. J'avance pas à pas vers celle-ci sans faire paraître aucun sentiment sur mon visage couleur pêche.

"Servant Saber pour vous servir! J'ai répondu à votre appel! Puis-je vous poser une question: êtes vous ma master?"

Grâce à mon instinct ou plutôt sixième sens, je savais tout de suite que c'était bien elle mon maître. Prenant immédiatement mon habitude, je pose mon genou gauche à terre puis m'incline comme un chevalier effectuant le serment d'allégeance envers son roi tout en placant la paume de ma main droite sur l'emplacement de mon coeur.

"Si c'est le cas! Mon corps vous servira de bouclier et par ma lame, je nous guiderais vers la victoire... Master!" prononcai-je ces paroles avec assurance.

Je regarde ma master de mes azurs en attendant une quelconque réaction de sa part.

Invité

Jeanne: Servant Saber pour vous servir! J'ai répondu à votre appel! Puis-je vous poser une question: êtes vous ma master?

J'avais donc invoquer un servant de catégoris "Saber" ? J'étais vraiment génial, mais un peu perturber je n'avais jamais pencée pouvoirs invoquer un servant de cette classe. Au debut j'aurais cru pouvoirs invoquer un assasin ou encore un caster, mais non ! j'avais invoquer une femme de catégoris saber. Peut être que mes chance allait augmenter ? Regardant la jeune femme je la vie posé un genoux à terre et s'inclina comme un chevalier, metant ula paume de sa mai droite sur son coeurs. Elle avait tout de loyale ont dirais bien, elle resenblais vraiment a une chevaliére, pas seulement de son physique mais de ces magniére, je me demandait bien qui j'avais bien put invoquer. Je ne conaissait que quelque légende d'héros, je n'avais pas pris la peine dans mon enfance d'aprendre des chose sur l'histoire ou autres.

Jeanne: Si c'est le cas! Mon corps vous servira de bouclier et par ma lame, je nous guiderais vers la victoire... Master!

Je nous guiderais ? Cette jeune femme étais bien sur d'elle de juré quelque chose comme cela, et pas seulement sur mon nom mais sur le sien. La regardant dans les yeux avec un de mes regard froid. J'ai posé une de mes main sur sa joue pour ensuite faire glissé un de mes doigt sur sa lévre inférieure. Sa peau étais douce et ces lévre étais pure, cela me rapellais bien quelqu'un mais je n'en n'étais vraiment pas sure. Retirant ma main j'ai croissé les bras devant elle et j'ai pris la parole.

" Je suis "Hikari Nagashima" à partir d'aujourd'hui tu sera mon servant, je compte sur toi pour me méne à la victoire ! Puis je aussi s'avoirs la vrai identité de mon servant ?

Invité

Après mon numéro de chevalier loyal, la réaction de mon master fut immédiate. Au début, c’était la surprise qui apparut sur son visage puis ce fut l’incompréhension dû à l’origine de mon invocation en tant que servant de classe saber. Faire appel à un serviteur de cette catégorie est rare mais celle-ci est bénéfique pour une personne engagée dans cette guerre étant donné que la classe « Saber » est la meilleure.
Soudain, Hikari glisse sa main sur ma joue jusqu’à ma lèvre inférieure. Ces gestes sont comme identiques à ceux des hommes qui m’ont torturée dans ma prison de mon vivant. La peur commence à s’emparer de mon être en me remémorant ces souvenirs mais je reste de marbre pour éviter d’éveiller des soupçons. La jeune femme à la chevelure carmin m’avoua son nom et prénom puis me pose une question sur ma véritable identité.

"C’est un honneur pour moi de vous servir….Master ! "

Ma voix était empreinte d’hésitation en révélant exactement qui je suis. J’aurais souhaitée la garder secrète mais je ne peux désobéir à un ordre de mon maître. Je me relève en fixant les yeux bruns de la jeune Nagashima.

" Je suis en réalité la sainte martyre de France surnommée La Pucelle d’Orléans…..de mon véritable nom Jeanne d’Arc… " avouais-je avec toute la volonté dont je pouvais faire preuve dans cette situation.

Pendant toute ma vie, je suis me battue comme un homme pour repousser les anglais à la suite de la mission qui m'était confiée par le Seigneur. J'avais une totale confiance en moi à ce moment-même.

Invité

Jeanne: C’est un honneur pour moi de vous servir….Master !

J 'avais remarquée de la peur tout prés de moi au moment ou je me suis mise à lui caresser la joue, avait elle peur de quelque chose, vit à vit que je lui caresse la joue ? Ma fois je ne voulait pas en savoirs plus pendant ce temp. Je me demandais si cette jeune femme allait elle me révélé sa vrai identité ? Car j'avais commme un doute, son visage, ses vêtement ansi que son carractére me rapellais bien une personne que j'avais vu dans un vieu lire d'histoire. Me m'étant sur une chaise dérire moi je me suis assise et j'ai continue à contenpler la beauté du servant que j'avais invoquer. Soudain la jeune femme ce lêva a dit sur un tons hésitant.

Jeanne: Je suis en réalité la sainte martyre de France surnommée La Pucelle d’Orléans…..de mon véritable nom Jeanne d’Arc.

Elle étais donc Jeanne D'Arc, je ne m'étais pas tromper sur son cas alors, mais quelque question idiote me passait par la tête, étais vraiment pucelle ? je ne voulais vraiment pas le vérifier maintenant, je me conprenais, j'étais méchante et sens pitié, mais parfois je ne voulai pas faire de chose idiote comme cela. Passant une de mes main dans mes cheveux rouge je les ait poussé en arriére et j'ai continuer de regarder la jeune femme avant de dire.

- Et bien, tu est donc Jeanne la Pucelle ? avrés dire je me surprend moi même, je n'aurais j'amais crus pouvoirs t'invoquer. Enfin bon, temp que tu est ma seul chance de réusite tout me convient.

Invité

La jeune femme ramène sa longue chevelure rougeâtre en arrière tout en continuant de m'admirer une façon étrange. Je me contente de ne rien dire pour le moment mais celle-ci prend la parole.

- Et bien, tu es donc Jeanne la Pucelle ? A vrai dire je me surprends moi même, je n'aurais jamais cru pouvoir t'invoquer. Enfin bon, tant que tu es ma seul chance de réussite tout me convient

Elle et moi avons un même intérêt: la réussite. Je ferais tous ce qui est en mon pouvoir pour gagner la coupe sacrée et réaliser mon voeu le plus cher. Si mon master le veut vraiment, ja la mènerais à la victoire même si je dois sacrifier des innocents. Je ne suis plus qu'un esprit-héroïque à cette époque et mon corps charnel n'est plus que poussière. Rien que de repenser aux flammes m'entourant et brûlant ma chair. Ce fut un supplice, une condamnation qui est marquée à jamais dans mon âme.

"Vous pouvez compter sur moi....Master....j'emporterais cette guerre et le Saint-Graal sera à nous!"

Tout d'abord, je dois savoir ces projets, sa réelle motivation de son application dans cette guerre. Si nos buts sont différents, il va falloir trouver un terrain d'entente pour ceci.

"Je dois vous paraître indiscrète à ce moment-même mais....quel est votre voeu?....."

Invité

Jeanne: Je dois vous paraître indiscrète à ce moment-même mais....quel est votre voeu?.....

Elle étais bien curieuse pour une pauvre paysanne portant une armure. Cependant rien ne me dérangeais de lui dire la vérité, même si mon voeu étais quelque chose de mystérieux. Je voulais découvrire se jardin de rose qui hantais mes rêve et mes penssés depuis ma plus petite enfance, même si ce jardin n'ait qu'illusion je voulais s'avoirs pourquoi cette sensation de possétion étais en moi. En pensant à cela j'avais eu ce drôle de caractère après avoirs retiré mon collier, mais j'étais mieux sens celui-ci, il m'avais portez temps de fardeau. Me lêvant je me suis diriger vers la cuisine qui étais juste en face du salon, prenant un verre de jus de fruit, je suis revenue dans la salon face à Jeanne.

- Mon voeu est de d'écouvrire un endroit qui me hante depuis mon enfance, Mais rien ne m'oblige de demander cela au St-Graal... et toi ? à mon avis ces d'échaper au buchet ? je me trompe peut être ?

J'avais posé une question assez embarrassante pour Jeanne, tenant le verre de jus de fruit entre mes doigt je me suis remise à regarder la jeune femme quand une drôle de sensation a parcourue mon corps, j'aavais changer personnalité en ce moment même ? C'est vrai que d'habitude je n'étais pas aussi gentil, elle m'avais donc fait changer de personnalité, elle m'épatais vraiment. Je lui ait tendu le verre de jus de fruit un petit sourire au lèvres.

- Tu devrais boire quelque chose, tu ne pense pas ?

Invité

Pendant que mon master était partie vers la cuisine, j'examine la pièce attentivement. On dirait que les meubles furent déplacés en raison de mon invocation. Le monde a vraiment bien changé depuis mon époque au 15^ème siècle et, moi, je vais devoir m’y familiariser. Hikari revient avec un verre rempli d’un liquide de couleur qui émanait une délicieuse odeur dont je ne connais le contenant. Trop occupée à regarder autour de moi qu’elle finit par répondre à ma question posée précédemment.

Hikari: Mon vœu est de découvrir un endroit qui me hante depuis mon enfance, Mais rien ne m'oblige de demander cela au St-Graal... et toi ? A mon avis c’est d'échapper au bûcher ? Je me trompe peut être ?

La jeune femme avait tout de suite devinée le souhait qui me hante depuis si longtemps. Je lui réponds donc à mon tour en baissant ma tête tout en laissant paraître ma tristesse que j’essayais de refouler depuis le début.

« C’est exacte ! Je n’avais que 19 ans lorsque je fus brulée pour hérésie et sorcellerie…cet événement m’a marquée à jamais…rien que d’y repenser j’ai l’impression de revivre cette scène... »

Le mélodramatique ? Je n’étais pas de ce genre là moi mais je continue de lui raconter ma douloureuse et tragique mort à cause des anglais.

« Être brûler vivante est la torture la plus insensée que je connaisse…c’est du passé à présent maintenant je suis votre servant et je vous protègerais quoi qu’il arrive »

Un long frisson parcourut soudain le corps de la jeune femme aux cheveux rouges que j’ai pu apercevoir. Son comportement avait changé ce qui me surprit un peu. Hikari me tends son verre avec un léger sourire se dessinant aux coins de ses lèvres.

« Hmmm…merci Master »

Je récupère le récipient entre mes mains et l’approche de mes lèvres. Le liquide coula lentement dans ma gorge ce qui me fit le plus grand bien.

Invité

Jeanne: C’est exacte ! Je n’avais que 19 ans lorsque je fus brulée pour hérésie et sorcellerie…cet événement m’a marquée à jamais…rien que d’y repenser j’ai l’impression de revivre cette scène... Être brûler vivante est la torture la plus insensée que je connaisse…c’est du passé à présent maintenant je suis votre servant et je vous protègerais quoi qu’il arrive

C 'est vrai que d'être bruler vivante a 19 ans ne devait pas être de toute joie, penchant la tête sur le coter j'ai regarde son visage. En lui donnant le verre de jus de fruit elle avais dit « Hmmm…merci Master » Un grand sourire c'est tracé sur mes lèvre et je les regarder apporter le liquide oranger à sa bouche, elle devait surement ce demander qu'est ce que s’étaie ? a son époque il ne connaissait pas le jus de fruit ? je n'en savais trop rien, je ne mis connaissait pas en Histoire. Je regardait autour de moi, a ce que j'avais put remarquer quelque meubles s'étais déplacer accose de l'invocation, encore une tache ménagére a faire... Ahlala. Retournant le regard vers Jeanne je les regarde dans les yeux, elle avait déjà finit son jus de fruit, elle devait avoirs vraiment soife.

- Si tu en re-veut n'hésite pas à me le demander. Le jus de fruit n'est pas en manque dans cette maison. Et puis ! fait comme chez toi, cette maison et désormait la tienne ! ne reste pas debout assied toi.

Je me tournis pour allée en direction de meuble qui avais bougée. Le canapé s'étais décaler vers la gauche, remontant mes manches je les pousser vers la droite pour le mettre correctement à sa place. Ensuite j'ai continuer à faire tout cela avec les meubles et la table. J'ai lâcher un gros soupire et j'ai essuyer la sueur sur mon fonc quand une drôle de sensation mais soudain apparut. D'abord la migraine ensuite des visions. Un voile noir étais entrain de passé devant mes yeux s’étaie terrifiant. Me métant à genoux je me suis aggripé au canapé en fixant le sol les yeux grand ouvert, respirant de façon anormal. Restant comme ce si quelque minutes un bruit et soudain venu à mes oreilles se qui me rendit mes esprits. Tournant la tête je vu mon vase qui étais tomber, me relevant je me suis rabaisser pour nettoyer les morceau de verres au sol.

Invité

D'une traite, j'ai bu le contenu du verre qui avait un goût tout à fait exquis et rafraîchit ma gorge sèche. En posant le gobelet transparent sur une petite table non loin de moi, Hikari commença à remettre les meubles à leur emplacement d'origine tout en disant qu'à partir d'aujourd'hui je partage sa demeure avec elle. Pour toute réponse, je me contente de lui adresser un sourire et m'incliner comme un bon chevalier que je suis.

"Je vous remercie de votre hospitalité....Master"

Cependant, étant toujours en tenue de guerrière, en un faisceau de lumière je me change rapidement pour me trouver sous forme de civil pour masquer ma présence en tant que servant. Le divan, les commodes avaient repris leur place d'origine et Hikari fut prise soudain d'une migraine puis d'un malaise. Je m'approche d'elle sans me soucier du reste qui m'entoure. Le bruit d'un fracas se fait entendre dans la pièce, ce n'était qu'un simple vase de décoration. Les morceaux jonchaient le sol ce qui pourrait être dangereux par contre la rouge les ramassent un par un.

"Master...es-ce que vous vous sentez bien?...Avez-vous besoin de quelque chose en particulier?"

Cette fois-ci, l'inquiètude s'empara de mon être vu l'état de santé de mon master il y a de cela quelques minutes.

Invité

Jeanne: Master...es-ce que vous vous sentez bien?...Avez-vous besoin de quelque chose en particulier?"

Elle avait donc remarqué mon malaise ? Ce qui n'étais pars surprenant et encore j'avais eu de la chance cette fois. D’habitude je m’écroulai au sol et ne me réveillais pas avant 24heures ou plus. Et bien sur quand je me réveillais j'avais changer de personnalité, qu'est ce qu'il m'arrivais bon sang ! j'étais une enfant maudite des la naissance ? J'aurais temps voulu en savoirs plus sur moi, et ma mère. Ramassant les bout de verre un à un je les ait tousse mis dans la paume de ma main et je me suis redresser sur mes deux grand pilier qui me servait de jambe. M'approchant d"une poubelle non loin de la table j'ai fais glissée les morceau de verre de ma main jusqu'à celle-ci. En ramassant les morceau de verre je m'étais ouverte la paume de la main, qui n'étais rien de grave. Je ne ressentais pas vraiment la douleurs et le sang ne me fessait aucun chose, j'avais eu tellement l'habitude de la voir, ou plutôt de voir des corps ensanglantée sans vie entre mes bras ou au sol baignant de leur sang. Je me suis soudait mise à regarde le sang couler de ma paume a mon poignet avant de relever les yeux vers Jeanne.

-Se n'est rien... ne t’inquiète pas pour cela. J'ai l'habitude tu sais et puis il ne faudrait pas que tu t’inquiètes trop pour moi, ce serais une très mauvaise idées...

En effet cela étais une très mauvaise idée, des que quelqu'un ce m'étais à être gentil avec moi je devenais immédiatement méchante, et ainsi de suite... Je ne pouvais pas vivre une vit normal avec se fardeau sur le dos. Prenant le long rubans noir qui me servait de chouchou dans mes cheveux, je les pris et l'entoura autours de la paume pour essayer d'arrêter le saignement. Après cela je pris le verre de Jeanne sur la table et le mis sur levier. Je me demandait si elle avais faim ? me retournant je suis allées devant elle et avec un petit sourire au coin des lèvre je lui est demander.

- Tu as faim ? Je peut peut-être te préparé quelque chose, non ?

Invité

Mon inquiètude ne fit que s'amplifier jusqu'à qu'Hikari emmène les morceaux brisés dans une poubelle en s'entaillant une de ses paumes. Je voulais m'approcher pour examiner la plaie mais la jeune femme stoppa l'hémoragie avec un long ruban noir qui se trouvait autrefois dans sa chevelure. La situation était entre de bonnes mains donc plus la peine d'y venir à bout.

"Très bien...Master..."

Une très mauvaise idée? Qu'est que cela voulait dire? Depuis ma plus tendre enfance de mon vivant, j'étais très curieuse. Malgré tout, je n'insiste pas plus jusqu'à qu'elle me demande si je mourrais de faim. Il faut dire que mon ventre criait famine pendant un moment.

"Je veux bien...je meurs de faim..."

C'était une réponse directe qui me fait rougir et je dissimule mon visage à cause des gargouillements émanant de mon ventre.

"Je suis désolé...Master...je suis une grande gourmande"

J'ai tellement honte maintenant surtout face à mon maître dans la guerre du Saint-Graal par contre quant elle saura que la paresse est mon principale défaut. Dans n'importe quel moment de la journée, je vais vouloir dormir au plus vite. Après mon petit combat mental, je regarde par la fenêtre et m'approche de celle-ci pour identifier l'environnement. Le soleil était haut et le ciel était d'une belle couleur azur.

"Master...ce serait possible de me faire visiter la ville? J'ai envie de la voir de mes propres yeux!... C'est intriguant"

Invité

Jeanne: Très bien...Master...

J'avais ressentie que son inquiétude étais enfin partie, enfin un peut partie ! mais tout ce passait comme des roulettes ! je n'avais pas encore changer de personnalité ces tout se qu'il comptais pour moi. Reculant d'un pas en arrière la jeune femme m'avait dit qu'elle mourait de faim et s'étais bien exacte ! j'avais entendu son ventre gargouillé. Ensuite elle ce mis à me dire un de ces defaut. Alors comme cela elle étais une grande gourmande ? je voulais bien le croire ! Mais elle n'allais pas mourir de faim bien longtemps ! j'allais lui faire explosé la pence, elle sera tellement plaine qu'elle ne pourra même plus avaler le désert que je lui avait prévu. Bon ! bien sur je venais de déjeuner mais j'avais encore faim ! et cela fera mon diner du midi ma fois. Souriant j'avais vu que la jeune femme maintenant habillé d'une robe s'étais mise devant la fenêtre, elle avait un expression rêveuse, voulait elle sortir ? M'approchant vers elle, elle me dit.

Jeanne: Master...ce serait possible de me faire visiter la ville? J'ai envie de la voir de mes propres yeux!... C'est intriguant

J'avais encore une fois raison ! Elle voulait donc sortir ? j'avais des course à faire elle n'aura qu'à venir avec moi après tout habiller de cette façon elle ne ressemblais pas a une personne d'anormal. Posant mes deux main dans son dos je la fit tournée vers la droite en direction de la salle de bain ! eh oui ! Elle allais prendre bain pendant que je préparere le diner ! après nous irons toute les deux dehors. Il fessait un magnifique soleil ! il fallait en profité après tout !

- Tu vas d'abord prendre un bon bain ! le temps que je prépare quelque chose à manger, ensuite nous irons toute les deux au centre-commerciale ! Je vais te faire couler ton bain, pendant ce temps toi ! déshabille toi.

Me penchant vers la baignoire j'ouvris le robinet d'eau chaude et d'eau froide, pour essayer de faire une eau tiède mais quand même chaude, une bonne température pour prendre son bain en quelque sorte. Fermant le bouchon de la baignoire l’eau commençais à couler en fessant un bruit agréable. Touchant avec ma main non-bléssé je vérifia la température de l'eau elle étais tout à fait parfaite !

Invité

La beauté du ciel et du soleil brillant de milles feux qui annonce le début d'une belle journée ensoleillée. J'étais en pleine admiration devant ce spectacle quand les deux mains de mon master me poussent vers la direction d'une autre pièce de la demeure. Hikari me fait coulée un bain et pendant ce temps je me suis dévêtis de ma robe bleue.

Ensuite, je me glisse dans l'eau chaude de la baignoire en soupirant d'aise. La chaleur était tellement agréable au contact de ma peau que j’en frissonnais presque. Tous les muscles de mon corps se détendent enfin. Hikari s’activait déjà aux fourneaux en cuisine pour préparer le dîner de midi. Posant l’arrière de mon crâne contre l’un des bords de la baignoire, je ferme mes yeux pour me plonger dans mes pensées les plus profondes.

La scène de ma mort me vint en mémoire de nouveau. Les flammes du bûcher encerclèrent l’autel ou je me situe depuis environ 5 minutes, les hurlements et insultes des gens du peuple parvinrent jusqu’à mes oreilles. En revanche, une voix qui m’était familière se distingua des autres, celle de Gilles de Rais voulant m’arracher de la sentence avec l’aide d’autres compagnons mais cette mission fut un échec. Je rends mon dernier souffle sur un bref mot « Jésus ».

En sursaut, j’ouvre mes paupières sous la surprise et ma respiration était entrecoupée par des halètements. Ce cauchemar ne cessera donc jamais même si je suis un servant. Peu importe les conséquences, j’obtiendrais le Saint-Graal par tous mes moyens. Un quart d’heure s’était écoulée, je me lave rapidement et ressortit de la salle de bain avec une grande serviette autour de moi. Embarquant mes vêtements, je les enfile tout en allant vers le lieu en question.

« Master…nous pouvons y aller…j’ai terminée dans la salle d’eau…vous aurez sûrement besoin de quelques commissions pour le reste du repas…je compte bien vous aider car ayant appris l’art de la cuisine et des tâches ménagères avec ma mère et ma soeur ainée»

Sans écouter les paroles d’Hikari, je me trouvais déjà devant la porte d’entrée, trop impatiente de découvrir de nouveaux endroits de cette ville.

Invité

Quand la baignoire fut plaine je sortit immédiatement de la salle de bain pour aller en cuisine préparer quelque chose de bon à manger. Arriver dans la cuisine j’ouvris la porte du réfrigérateur et je pris quelque Sushi qui me restais d'hier soir. Prenant ensuite du riz dans la placard j’ouvris le paquet et je commençât à faire cuire c'est petit grain blanc. En attendant que le riz cuit je pris deux assiette et des baguette ainsi que des verres et je mis le tout sur la table qui étais prés de la cuisine. Je mis quelque sushi dans mon assiette et celle de Jeanne avant de me retourner pour regarder mon riz cuire. Quelque minutes étais passé et j'avais entendu Jeanne sortir de la salle de bain, me retournant je la vis aller vers la porte d'entrée.

Jeanne: Master…nous pouvons y aller…j’ai terminée dans la salle d’eau…vous aurez sûrement besoin de quelques commissions pour le reste du repas…je compte bien vous aider car ayant appris l’art de la cuisine et des tâches ménagères avec ma mère et ma sœur ainée.

La regardant dans les yeux je m'étais mise à rigoler comme une idiote, le simple mots " Salle d'eau " m'avait fait rire, c'est vrai que sous cette personnalité j'étais une personne plaine de vie. De plus j'avais remarqué que la jeune femme avait les cheveux trempés et puis ! j'avais presque finit de tout préparé. A ce que je voyais elle étais presser de sortir, je la comprenais. Arrêtant le feu je mis le riz dans un égouttoir et je m'avença vers Jeanne qui étais prés de la porte. Lui prenant la main je les emmener sur le canapé et je pris un peigne non loin de la table, le m'étant dans ma bouche je me mis derrière Jeanne m'étant mes jambes entre son arrière-train. Détachant sa tresse je pris une serviette rouge sur le canapé et je commenças a lui essuyer les cheveux avant de lui peignier.

- Tu me semble bien présser, je comprend ton impatience mais laisse moi au moin séchez et peignier tes cheveux ! Après cela nous mangerons et sortirons dehors, et s'il te plait ! ne mange pas vite tu risquerais de t'étouffer.

Continuant de la peignier je lui refit sa trésse et m'enlevit du canapé, Possant la serviette accoté je me suis penchez vers l'avant m'étant mon visage prés du sien. Lui fessant un grand sourire avec mon pouce et mon index je me suis mise à lui pincer la joue amicalement, pas trop fort non plus ! je ne voulais pas lui faire de mal après tout.

- Voila ! tu est toute belle maintenant ! Bien allons manger je meur de faim !

Invité

Mes yeux ne quittent pas une seule seconde la porte d’entrée de la demeure. J’avais tellement hâte de découvrir le nouveau monde auquel je vais devoir vivre pendant un long moment jusqu’à ma victoire sur cette guerre. Hikari avait terminée de préparer le repas qu’elle prit ma main pour aller vers le salon. Avec une serviette de couleur rouge, elle sèche ma tête blonde et coiffe ma longue chevelure avec un peigne et cette fois-ci elle refait ma natte. Temps en temps, j’apprécie qu’on s’occupe de moi.

« Merci…Master… »

Tandis que je me relevais du sol, Hikari me pinça la joue de manière amicale tout en riant. Une veine commença à pulser du côté de ma tempe, la colère m’envahit immédiatement.

« Sans vouloir vous vexer, j’ai horreur d’être traiter comme une gamine et encore moins qu’on se moque de moi… »

Je fronce mes sourcils de mécontentement et m’installe à la table de la cuisine en saisissant les baguettes. Les sushis et le riz émanent une odeur vraiment délicieuse qui me donne l’eau à la bouche.

« Ne restez pas dans votre coin Master…un ventre vide est un ennemi ! Allez bonne appétit ! »

En identifiant chaque aliment faisant face à ma vue, je saisis le bol de riz à portée de main et commence à dîner.

Invité

Jeanne: Sans vouloir vous vexer, j’ai horreur d’être traiter comme une gamine et encore moins qu’on se moque de mo... Ne restez pas dans votre coin Master…un ventre vide est un ennemi ! Allez bonne appétit !

Et mince je l'avait véxé, mais au moins je savait maintenant qu'elle aimais pas qu'on rigole d'elle ou bien qu'on la prenne pour une petite fille, mais elle étais tellement mignonne. Oui je l'avouait ! j'avais des drôle de gout et puis alors ? Prenant le riz je le mis dans deux bol et apporta tout cela sur la table. Posant un bol devant Jeanne celle-ci avait l'air d'apprésier l’odeur même si je n'étais pas très forte en cuisine. Je me suis enfin assise en face d'elle et en prenant mes baguette je pris un shushi l'emenant délicatement à ma bouche tout en regardant Jeanne. Je m'en voulait un peut de l'avoirs véxé... Est ce qu'elle m'en voulait ?
Redressant la tête je les regarder et je dit avec une voix triste.

- Excuse moi, je n'ait pas agis de façon saine. Je te demande mon pardon...

Quand je parlais de cette façon me m'étonnais toujours, cela changeais du " Arrête de faire ton boudin " j'étais vraiment vulgaire sous ma deuxième personnalité... s'étais vraiment honteux de ma par de parler comme sa au autres ou même a mes professeur.

Invité

- Excuse moi, je n'ait pas agis de façon saine. Je te demande mon pardon...

Tandis que j'amenais un délicieux sushi à mes lèvres pour le déguster, mon master s'excusa auprès de moi à la suite des événements au salon. Je mâchais avec une infime lenteur l'aliment dans ma bouche puis je réponds de façon calme et posée.

"Vous n'avez pas besoin de vous excuser...Master...j'ai toujours vécu dans un monde rempli d'hommes sous mes ordres et avec qu'eux il fallait que je m'impose pour obtenir leur respect donc cesser de vous en vouloir..."

De mon vivant, je faisais toujours preuve de sagesse et maturité dès mon jeune âge lors que j'ai débutée ma carrière militaire c'est à dire à 16 ans tout juste. Au bout de quelques minutes, je conlus la fin du repas en répétant ces quelques mots et effectuant le geste de politesse: joignant mes deux mains au niveau de ma poitrine.

"Je vous remercie pour ce repas Master...c'était délicieux...."

Je tourne ma tête pour regarder de nouveau par la fenêtre. Une seule envie m'obsède encore: sortir et aller en ville plus précisément au coeur de la ville avec ces nombreuses galleries marchandes, restaurants...

"Nous devrions y aller Master si vous avez des courses à faire c'est le moment opportun!"

Invité

Jeanne: Vous n'avez pas besoin de vous excuser...Master...j'ai toujours vécu dans un monde rempli d'hommes sous mes ordres et avec qu'eux il fallait que je m'impose pour obtenir leur respect donc cesser de vous en vouloir..."

Elle avait peut être raison, continuant a manger quelque minutes étais passé et moi et Jeanne avions finit notre repas. Me levant je pris les deux bol pour les en piller et ensuite les poser sur la table, je fit pareille avec les baguette et les verre. Jeanne m'avait dit merci se qui me fit sourire, elle avait aimer ma cuisine ! Je progressait de jour en jour, j'étais fière de moi. Me retournant vers Jeanne celle-ci avais le regard fixer à la fenêtre, elle étais vraiment présser de sortir, Ahlala ! ont aurait dit une vrai gosse.

Jeanne: Nous devrions y aller Master si vous avez des courses à faire c'est le moment opportun!
Hikari: Bien ! allons y alors !

Je pris mon sac à main et le mis sur mon épaule droit, prenant aussi un sac de course je mis dirigea vers la porte d'entrée. Ouvrant celle-ci je fit signe à Jeanne de sortir et nous somme partie en direction du centre commercial. Tout en avançant j'avais ressentit une grande étendu magique du côté d'un restaurent, j'avais plusieurs fois tournée la tête mais je ne s'avais pas d'où cette puissance venait, peut être min imagination, ou bien un servant qui étais prés d'ici ?

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