Tu n'est pas la que pour combattre... mais pour revivre !

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Nous étions enfin rentrée chez moi ! à se que javait put voir il était maintenant plus de 20h00 et la nuit s'était annoncer sur Fuyuki. Fermant la porte derrière moi, je fit d'abord quatre petit pas en avant la tête dans la lune. Jeanne avait surement envie de se laver ? Tournant la tête vers elle je lui est sourit et je suis partie en direction de ma chambre, prenant la robe de chambre que je lui avait acheté je me suis dirigé dans la salle de bain pour la mettre au bord de l'évier. M'approchant de la baignoire je fit coulé de l'eau chaude comme je l'aimais. J'avais en effet une petite idée derrière la tête ! idée perverse ? oh que non ! au contraire... je ne savais pas si cela étais bien mais j'avais toujours rêver dans mon enfance de prendre mon bain avec une amis, même si je n'en n'avais jamais vraiment eu. Quand la baignoire fut plaine j'ai retiré mes chaussures et mes habit qui étais de couleurs noirs, j'avais vraiment l'habitude de portez ce genre de vêtement. Tournant la tête je me suis mise à crier.

- Jeanne ! Viens à la salle d'eau s'il te plait !

Tout d'un coup je m'étais mise à rire tout seul. J'avais appeller "La salle de bain" "La salle d'eau", comme Jeanne l'avait appeller dans la journée. Retirant complètement mes vêtement, je suis rentré dans la baignoire qui débordait d'eau chaude. Se qui étais bien avec cette baignoire ses qu'elle étais grande, tellement grand que l'on pouvait mettre deux personne adulte à l'intérieure. Me m'étant a genoux dans l'eau je vit quelqu'un ouvrir la porte de la salle de bain, s'étais Jeanne. lui souriant je lui est dit en lui tendent la main.

- Vien Jeanne ! Tu n'est pas la que pour combattre, tu est aussi ici pour t'amuser et partager plein de nouvelle chose avec moi ! Tu est pluse qu'une amis pour moi, alors vien... je vais te faire partager quelque chose que je n'ait pas beaucouo reçu dans mon enfance "L'amour et le bonheure "

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[b]Après être de retour dans la demeure, Hikari se précipite pour aller prendre un bain et se détendre au mieux. Elle lui proposa même de la suivre pour se laver mutuellement mais Jeanne n'avait pas le cœur à cela. Sans l'offenser, elle refusa cette demande.

"Je suis désolé....je n'en n'ai aucune envie..."

Tournant les talons, la jeune femme aux cheveux blonds se retira dans le jardin, désirant rester seule. Sa rencontre avec le roi des chevaliers l'avait bouleversée de l'intérieur surtout qu'elle avait perdu son sang-froid. Gilles de Rais....ce prénom hantait son esprit comme un fantôme...comment a t-il pu faire toutes ces horreurs dans la passé?! La jeune martyre se la pose très souvent mais des hypothèses pouvaient être possibles.

"Es ce en après mon décès qu'il a sombré dans la folie?"

Jeanne lève, avec lenteur, sa tête vers le ciel pour admirer les étoiles et la lune en croissant.

*Gilles…j’aimerais comprendre ce qu’il t’est arrivé exactement….*

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Après que la jeune femme ait refuser mon offre je me suis laisser couler dans l'eau, ouvrant les yeux tout étais flou, je pouvais voir les bulle d'air remonter à la surface. Je me demandais se qu'elle avait. Je pense qu'il fallait que j'en apprenne plus sur elle, je devais bien avoirs un livre de Jeanne D’arc quelque par.... mon père étais un passionné de Moyen Age après tout. Remontant à la surfasse j'ai respiré un grand bol d'air. Quelque minutes plus tard je suis sortie de mon bain, je pris m a nuisette rouge et noirs et l’enfila avant de vidé ma baignoire et enfin sortir de cette pièce. Entrant ensuite dans la chambre de mon père de et de ma mère une grand bibliothèque s’étendait sur la moitié de la chambre. Prenant une chaise je me suis mise à regarder du côté des "J" Ils y avait tout plain de livre mais je n'arrivais pas a tombé sur celui que je voulais, j'ai commencer à ménervé quand un livre et tombé au sol, le regardant je pus voire des enluminure d'une femme qui brûlait sur le bûcher, s’était ça ! Sautant de la chaise je pris la livre entre mes deux main avant de me dirigée vers un endroit tranquille ou je pourrais lire, le jardin.

Une fois dans le jardin je me suis assise sur les marche quand je vit Jeanne qui étais aussi présente au même endroit. Ouvrant le livre j'ai commencé à le lire sens me soucier de Jeanne, elle avait peut être besoin de calme ? Après quelque pages Jeanne étais toujours dans le jardin, prenant mon livre j'ai quittée le jardin et j’ai posée celui-ci sur la table. Fessant le tour de la maison je ne savais pas quoi faire... Partant en direction du couloirs j'ouvris une porte d'une pièce au qu'elle je n'avait jamais remis les pied depuis mon coma, l'ouvrant je d'écouvrie un énorme piano, celui de ma mère... M’installant sur le tabouret je me suis mise à jouer quelque notes cherchant dans mon esprit une mélodie. Quant je lu trouvé je me suis mise à jouer "Song from a Secret Garden" Une musique que ma mère m'avait apprise quand j'étais encore qu'une enfant. me lessant entrainer par cette douce musique je ferma les yeux et me mis a bouger de droite à gauche, j'étais entrainer... ou entrainer par cette musique qui me rappelais des souvenirs que j'avais oubliée.

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Les inombrables étoiles du la voie lactée brillaient de milles et feux. Jeanne les regarde en pleine admiration devant ce magnifique spectacle malgré que ses pensées étaient encore hantées par le souvenir de son compagnon d'armes, Gilles de Rais, devenu un assassin d'enfants. Ces petits êtres transformés en des monstres à tentacules. Elle baisse la tête en essayant de cacher les émotions qui la submerge de l'intérieur comme un pincement au coeur.

*Gilles...tout doit être de ma faute...*

La belle blonde a remarqué que son master s'est levée pour rejoindre une autre pièce. Au bout de 10 minutes, une mélodie parvint aux oreilles de Jeanne. Cette musique était à la fois douce et mélancolique. En se levant de sa place, la française pénètre dans la demeure et apercoit un livre ou une caricature se fit voir. Curieuse, elle s'en approche pour enfin la voir de plus près: une caricature d'une jeune femme en train d'être brûlée vive. Des souvenirs lointains lui revinrent en mémoire: sa propre mort sur le bûcher. Elle s'empare de l'objet de ses fins doigts pour se diriger vers le lieu ou se trouvait Hikari.

"Cette enluminure est vraiment grostesque...comment a t-on pu me représenter de la sorte...."

Jeanne soupire un bon coup puis se met à écouter la musique que compose Hikari sur le piano

"C'est vraiment beau...mais quel est cet instrument?"

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Cette musique étais tellement belle et mélancolique se qui aurais put me faire pleuré mais j’étais trop grande pour pleuré sur les choses du passé que je regrettais vraiment. Continuant de jouer à la même vitesse je me demandais si Jeanne allais tomber sur le livre d’elle-même qui j’avais laissé trainer quelque part. Sans trop m’en préoccuper j’avais entendu Jeanne pénétré dans la maison, elle n’était plus dehors ? Elle allait surement venir ici… Qui ne viendraient pas après tout ? Le piano était vraiment un instrument très envoutant et magnifique mais, le connaissait elle ? Continuant de jouer la jeune blonde et rentré dans la salle pour me dire.

Jeanne: Cette enluminure est vraiment grotesque… comment a-t-on pu me représenter de la sorte…

Je n’eu aucune réaction cependant elle avait trouvé le livre ! Je ne savais vraiment pas quoi lui répondre moi ! Après tout il n’avait dessiné que la vérité ! Elle avait bien êtes brûler… Cela avait du faire vraiment mal… Elle à du souffrir encore plus que je souffre moi-même. Soupirant intérieurement le song de la voix de Jeanne vin encore a mon oreille pour cette fois demander quelque chose :

Jeanne: C’est vraiment beau… mais quel est cette instrument ?

Bingo ! J’avais eu raison elle ne connaissait pas le piano ! Arrêtant de jouer je me suis tourner vers elle et j’ai pris le livre de ses main. Le fermant je les déposer ou j’étais assise puis je me suis lever pour la regarder de plus prés. Elle avait un visage d’ange je me demande si elle avait déjà été amoureuse de quelqu’un ? Je ne pense pas… Soupirant encore une nouvelle fois je mis ma main sur sa tête pour lui caresser, elle avait de magnifique cheveux blond aussi doux que les miens… s’était surprenant ! Relevant le visage je dis :

-Je ne connais pas la réponse à ta première question…Quant à la deuxième ! Cette instrument et un piano, un instrument polyphonique, tu veux essayer peut être ?

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La douce mélodie émanant du piano berce lentement mes sens. C'était vraiment magnifique...grandiose...aucun ne pouvait la qualifier. Jeanne, intriguée, s'approche de l'instrument de musique et passe ses doigts sur les touches en écoutant attentivement les paroles de son master.

"Un piano....étrange nom....c'est différent de mon époque..."

Soudain, Hikari pose sa paume sur le haut de son crâne pour lui caresser la tête. La servant ferme les yeux un petit moment pour finir par les ré-ouvrir afin de la regarder droit dans les yeux. Malgré le geste affectif de la jeune femme, les pensées de la blonde étaient obsédées par une seule personne: son cher compagnon d'armes. Elle n'écoute plus du tout Hikari et regarde dans le vide.

"Gilles..."

Jeanne ne pouvait plus croire les atrocités que son compagnon avait pu commettre.

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Elle trouvait le piano étrange, dans son époque cette instrument ne devais pas exister en effet. La regardant celle-ci avais fermer les yeux alors que je lui caressais la tête affectivement et puis elle les rouvrit pour regarder cette fois dans la vide mais, à quoi pensait elle ? Continuant de la regarder je me demandais se qu'elle avais... Elle avais alors à se moment prononcer un mots, ou plutôt un prénom "Gille" gille ? Qui dans son époque s'appelait Gille ? Réfléchissant je me suis posé quelque question et je douta sur quelque chose "Gille de Rais". Soupirant je me suis assise sur le tabouret du piano puis je la pris d'un seul coup les hanches de Jeanne pour la mettre sur mes genoux pour lui censuré à l'oreille quelque mots.

- Oublie... et laisse toi porter par la voix des anges...

Posant mes deux main sur le clavier du piano je me suis mise mise à jouer une nouvelle mélodie un peut moins Mélancolique. J'avais dit "la voix des anges" mais le son du piano ne ressemblais pas tellement aux anges. enfin bon ! Posant ma tête sur sont épaule j'ai continuer à jouer, en espérant que celle-ci oublie les mauvais souvenirs.

Spoiler:

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"Barbe Bleue" le fameux surnom qu'on donne au plus proche compagnon de Jeanne d'Arc. La Pucelle ne souhaite, en aucun cas, oublier ces infâmes souvenirs du 15ème siècle.Son époque était en proie à un conflit de guerre entre les Anglais et son peuple pendant environ 116 ans pour des raisons qui lui étaient inconnues mais ceci elle s'en contre-fiche. Soudain, son master captura ses hanches pour venir s'installer sur ces genoux tout en jouant de cet instrument étrange. Trouvant ce geste tout à fait déplacé, elle s'éloigne brutalement d'Hikari sans se soucier de sa réaction.

"Je vous prie de garder vos distances avec moi...Master...c'est un manque de respect envers ma propre personnne..."

La jeune femme blonde est assez boulversée de l'intérieur par les révélations du roi des chevaliers sur les desseins malsains de Gilles de Rais sur les enfants. Comment a t'il pu faire toutes ces horreurs? Cette maudite question ne cesse de s'imposer dans l'esprit de Jeanne imaginant les pires tortures et traitements sur ces êtres innocents et fragiles. Elle doit se calmer et oublier tous ces événements depuis son invocation. En emboîtant le pas, elle sort de la pièce puis de la maison pour se retrouver devant la rue. Scrutant les environs pour que personne ne la voit, elle réfléchit un court instant afin de trouver le lieu le plus approprié pour être seule sans que son master ne soit à ses côtés.

*L'église...l'unique endroit qui apaisera ma conscience....*

Sous la clarté de la lune, elle baisse la tête pour y fixer un point invisible au sol.

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Jeanne: Je vous prie de garder vos distances avec moi...Master...c'est un manque de respect envers ma propre personne..."

Avais-je fais quelque chose de déplacer que mon servant me dise cela ? Un manque de respect… et moi qui voulait simplement l’aider… Elle n’allait pas toujours me connaitre sous la lumière mais, aussi sous les ténèbres les plus obscures. Arrêtant de jouer du piano je me suis retournée pour regarder Jeanne mais celle-ci n’étais déjà plus là… Ou était-elle ! Soupirant de désespoir je me suis mise a chercher dans tout la maison en prononçant le prénom de mon servant, l’appeler « Saber » étais un peut désagréable alors qu’elle avait un si jolie prénom…

-Jeanne ! Où est tu ? Je suis désolé… Je voulais simplement t’aider… me rendre utile… Ou plutôt je voulais te faire sourire…

J’étais tellement triste de la voir dans cette êtas, Si seulement elle pouvait m’en parler ! Prenant ma veste noire je les mise autours de moi avant d’ouvrir la porte d’entrée pour sortir dehors. Marchant en direction de la rue au loin je vu une forme féminine. Une jeune fille blonde avec une longue natte, s'était elle ! Jeanne… Passant ma main dans la poche de m’on blouson je crue sentir quelque chose et en effet il y avait bien quelque chose ! Regardant de plus prés l’objet, je tenais entre mes main un revolver, j’avais vraiment beaucoup d’arme a feu dans mes affaires… Continuant d’avancer en direction de Jeanne j’ai gardé larme dans ma main gauche. Quelque question se bousculais dans mon esprit… fuyait elle quelque chose ? Voulait-elle rester seule ? La regardant dans les yeux je lui dis clairement.

- Écoute-moi bien ! Je suis ton Master avant tout et savoir se que tu as ou bien, ou tu va me regarde… Je m’inquiète à ton sujet… mais je ne m’inquiéterais pas toujours, Alors profite !r

En effet je ne pourrais pas toujours m'inquiétai pour elle. J’étais atteinte d’une malédiction qui me donnais deux faces différant et j’avais vraiment peur de mon côté méchant. Je ne voulais pas la blesser…

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Les souvenirs de la Guerre de Cent Ans lui reviennent lentement en mémoire. Le plus marquant est celui de sa défaite lors du siège de Paris ou elle fut blessée par un carré d’arbalète dans sa cuisse et que Gilles s’est précipité à ses côtés pour comme la protéger. Rien qu’à la pensée de cette réminiscence, elle se met à sourire malgré que son regard soit perdu dans le vide. Son souhait le plus cher est de récupérer le Saint-Graal et le retrouver qui sait en servant tout comme elle.

En redressant la tête, elle put apercevoir le visage de son master qui la fixe en demandant que lui arrive t-il plus précisément. Jeanne prend sa croix entre ses fins doigts pour la serrer d'avantage à l'emplacement de son coeur.

"Je veux juste revoir mon compagnon...le noble chevalier Sir de Rais...vous ne comprenez pas...je l'aime trop pour l'accuser d'être un assassin..." dit-elle avec une once de colère dans le timbre de sa voix.

Depuis son arrivée ici, Jeanne a pu remarquée qu'Hikari détient deux facettes de sa personnalité qui peut être énervant de temps à autre. Ce qu'elle déteste le plus chez certaines personnes: la curiosité. Pour la blonde, c'en était le pire défaut qui puisse exister.

"Je vais me rendre à l'église pour prier....je désire être seule donc je vous prie de ne pas me suivre jusqu'à ce lieu de prière..."

En enjambant le pas, elle se dirige vers la route puis disparaît dans les ténèbres de la nuit pour se rendre à la destination.

"Bonne nuit...Master..." cria t-elle avec une douce voix.

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Jeanne : Je veux juste revoir mon compagnon...le noble chevalier Sir de Rais...vous ne comprenez pas...je l'aime trop pour l'accuser d'être un assassin...

Gille de Rais, hein ? Ce chevalier avait surement du être le meilleur ami de Jeanne pour que celle-ci réagisse de cette façon… De plus cette histoire d’assassin me troublait, avait-il tué des personnes innocentes lors de la mort de Jeanne ? Je n’en savais rien et puis ma curiosité devenais mon plus pire défaut il fallait que j’arrête tout de suite de me posé des questions inutile.

Jeanne : Je vais me rendre à l'église pour prier....je désire être seule donc je vous prie de ne pas me suivre jusqu'à ce lieu de prière...
Elle voulait se rendre à l’église pour prier et être avant tous seul ! Hochant la tête de façon positive je me suis reculé de Jeanne regardant dernière moi un petit instant. Les rues étais sombre et seul le clair de lune pouvais les éclairés. Ensuite je me suis remise à regarder devant moi mais il n’y avait personne, elle était déjà partit. Alors que je voulus me retournée j’entendis une voix qui me dit " Bonne nuit… Master… " Souriant j’ai crié dit a mon tours

-Merci Saber…

Elle m’avait appelé Master ! Donc pourquoi je ne pourrais l’appeler Saber ? C’est vrai que sétait pénible… Mais drôle quand même ! Tournant les talons je suis rentrée dans ma grande maison avant de me déshabiller pour me mettre sous la couette. Je ne m’étais pas endormie tout de suite, j’avais plusieurs minutes réfléchie mais tout conte fait ! J’avais vraiment besoin de dormir !

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